#balisebooks – La Chute d’Hypérion – Dan Simmons

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Bien bien bien, ça fait un petit bout de temps que j’ai pas fait de #balisebooks; en partie parce que j’ai moins lu ces derniers temps, et en partie parce que je suis super en retard pour celui-ci ! (Pour donner une idée, j’ai lu un demi tome de Robert Jordan entre temps). Eeeet évidemment ça veut dire que j’ai encore moins de choses à dire que ce que j’aurais pu dire juste après l’avoir fini.

En bref : j’ai beaucoup aimé. Hypérion était centré sur l’histoire (passée) des personnages. La Chute d’Hypérion raconte ce qui se passe sur Hypérion (et qui ne reste pas sur Hypérion). La guerre est imminente. En dehors d’Hypérion, on voit comment cela est géré par le gouvernement de l’Hégémonie. Sur Hypérion, les pèlerins sont arrivés dans la zone des Tombeaux du Temps et attendent la confrontation avec le gritche.

C’était une lecture très prenante. Hypérion s’intéressait plus aux personnages ; la Chute d’Hypérion fait la part belle à la description de l’univers et de son fonctionnement. Est-ce que j’ai déjà dit que j’avais beaucoup aimé ? Oui. En plus, j’en ai maintenant deux versions. J’ai une version papier, à laquelle pour une raison ou une autre il manque 40 pages à un tiers du bouquin (argh). Quand je me suis rendue compte de ça, je me suis relevée (j’étais sous la couette), et j’ai racheté la version Kindle pour pouvoir le lire sur mon téléphone et ne pas interrompre ma lecture. Je suis pas sûre que j’aurais fait ça pour n’importe quel bouquin.

#balisebooks – Foundation / Fondation – Isaac Asimov

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J’ai un problème avec Fondation. Je me considère fan d’Asimov, et j’ai jamais réussi à finir Fondation. C’est pire que ça : jusqu’à la semaine dernière, j’avais jamais fini le premier TOME de Fondation. Pas que j’avais pas essayé, j’ai dû commencé à le lire 4 ou 5 fois ces 12 dernières années.

Ça m’agace, parce que Fondation est souvent considéré comme LE cycle d’Asimov, voire de la science-fiction en général. Du coup, j’ai l’impression de louper un truc.

Fondation est l’histoire de la chute de l’Empire galactique et de la manière d’en atténuer les conséquences. Je pense que ce qui m’a le plus perturbée lors de mes premières tentatives est que les cinq parties du bouquin ont peu à voir les unes avec les autres, qu’elles sont séparées par une longue période de temps sans que ça ne soit explicite immédiatement, et qu’il n’y a presque pas de personnage commun entre les parties (un personnage dans une partie est parfois devenu limite un mythe dans la suivante). Pour moi, c’est source de confusion et d’agacement – ça m’énerve d’avoir un vague aperçu d’un personnage et *pouf* il disparaît dans la partie suivante. Bon, une fois qu’on a pigé la structure générale, ça va mieux.

J’ai aussi appris, en faisant un peu de méta-lecture, que Fondation avait été à l’origine publié comme nouvelles individuelles (en particulier dans Astounding). Je crois que j’aurais apprécié une note de l’éditeur sur ce point au début du livre.

Bon, j’ai fini le premier, qu’est-ce que j’en fais ? Je suis pas convaincue que je vais continuer. Je veux dire, objectivement, c’est bien, et je peux voir l’attrait de ce machin épique où on a l’impression de voir l’Histoire s’écrire. Mais je crois que… ben c’est pas ma came, quoi. J’ai toujours un peu l’impression de louper un truc, mais au moins j’ai fait ma paix avec ça. Il est pas impossible que ça finisse par m’énerver à l’avenir et que je me dise que le deuxième (ou le troisième, ou…) tome est différent et que je loupe effectivement quelque chose, mais on verra quand/si le problème se présente(ra) 🙂

#balisebooks – The Litigators / Les Partenaires – John Grisham

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J’ai fini The Litigators de John Grisham (traduit en français sous le titre Les Partenaires) hier soir. Je l’avais commencé il y a quelque temps, et j’ai lu la trilogie Hunger Games (Susan Collins) et In One Person (John Irving) avant de le finir. On pourrait croire que c’est un commentaire sur le fait que c’est pas un bouquin vraiment passionnant (étant donné que je l’ai abandonné pendant si longtemps) mais, au vu de mes habitudes de lecture, je pense pas qu’il faille en déduire trop de choses.

The Litigators est l’histoire de deux avocats plutôt minables, Oscar et Wally, rapidement rejoints par David, qui a démissionné de son poste précédent dans une firme prestigieuse sur un coup de tête. Et ces trois gugus (qui n’ont aucune expérience au tribunal) se retrouvent, globalement à cause d’une coïncidence, à attaquer une grosse entreprise pharmaceutique sur son médicament anti-choléstérol phare, le Krayoxx.

Quand j’ouvre un roman de John Grisham, je m’attends principalement à être distraite/amusée pendant 400 pages avec des histoires d’avocats (ce n’est PAS une contradiction), avec une histoire qui ne casse généralement pas des briques et qui est généralement sans grande surprise, mais qui est bien menée, décemment écrite… et c’est à peu près tout. The Litigators répond clairement à tous ces points ; je l’ai trouvé plutôt plus drôle que d’autres bouquins de Grisham, probablement parce que les personnages sont intrinsèquement plus comiques. De manière générale, je dirais que The Litigators a rempli et même dépassé mes attentes – c’est un bon Grisham 🙂

Bleh, une chaîne…

Bon alors comme je suis une gentille fille, je réponds à la chaîne que Chocaccro vient de me rebalourder… J’vous jure quel sacerdoce d’avoir un blog !

Balise 10 ans plus tôt ?

Et ben ouais, je me suis rendue compte avec une horreur non dissimulée qu’en juin 98, je passais le bac. Et ça, ça fout un coup de vieux. Du coup, en octobre 98, j’étais en début de sup, je jouais au tarot et j’étais déjà larguée sur le cours de physique. Je devais encore en être à refaire des jolies fiches de cours le soir… à moins d’avoir abandonné encore plus prématurément. C’est aussi l’année où je partais le plus tôt de la maison : j’ai souvenir de prendre le RER vers 7h du mat…

Les 5 choses que Rikko doit faire aujourd’hui ?

  • Bosser : j’ai des trucs à rédiger, plein ! (et ur dépôt SVN à ranger)
  • La lessive : aujourd’hui c’est lessive-day – en Suisse on a des crénaux pour utiliser la buanderie collective…
  • Aller à la Poste : 80 cartes de remerciements à envoyer… avec un mariage le 3 mai il est temps !!
  • Bricoler sur la machine de tests : j’y ai installé Arch Linux hier, ça semble prometteur… et ça fait longtemps que je suis sur Ubuntu, faudrait probablement réinstaller pour passer à Ibex proprement… bref je me tâte.
  • Et tous les trucs qu’il faut faire de manière chronique : ranger mon bureau, ranger mon /home, ranger mes serveurs, nettoyer la cuisine… pfffffff

Balise dans 10 ans ?

Ouais alors là heu on parle à quelqu’un qui ya un an et demi imaginait pas vivre à l’étranger quelques mois plus tard, alors…

Bon et pour les victimes, heu… Nancy parce qu’on l’entend plus et Lawrence parce que je crois que je lui ai jamais refourgué de chaîne. Paf.

Attention, peinture fraîche

Bon, après une attente relativement longue et un suspense quasi insoutenable, ayé, j’ai ma deuxième Dedibox… et vous êtes dessus !

« Pourquoi donc ? » allez-vous me demander. La précédente marchait trèèèès bien et j’en suis toujours trèèès contente. Mais, à force de dire aux copains « ah attends, t’as besoin d’un peu de place ? ça PEUT s’arranger ! », la dédi était devenue un peu heu… bordélique.

J’ai envisagé de ranger « sur place », mais j’ai à moitié tout pêté, alors c’était pas une bonne idée. Donc, nouveau serveur, rangement, tout ça.

J’ai dû repasser d’Ubuntu à Debian : le rangement a impliqué la mise en place de vservers, Ubuntu n’avait pas de noyaux vservers, et je dois l’avouer : je ne suis plus capable, à mon grand regret, de compiler un noyau. Le fait de devoir faire ça à distance et d’avoir pour seul indicateur « ça fait 10 minutes que j’ai rebooté, je crois que c’est mort » n’a certes pas dû aider.

Bref, voilà. J’en ai profité pour changer de thème (donc oui, Miod, le rose tramé, c’est voulu 🙂 ), c’est l’été, assumons la girlytude (fait tellement chaud ici que je me mets même en robe, c’est dire), the show must go on ! (D’ailleurs Queen + Paul Rodgers est en tournée en septembre en Europe.)