Mon bouquin de cuisine idéal

Ça fait quelques jours/semaines que je réfléchis à mon bouquin de cuisine idéal. Alors je crois que je vais mettre ça en vrac ici, en espérant pouvoir enfin penser à autre chose 🙂

  • Il est joli. J’aime bien avoir des photos avec les recettes que je lis, pour voir à quoi ça ressemble au final.
  • Il peut passer en cuisine. Ça veut en particulier dire qu’il ne craint pas d’avoir une goutte de flotte ou de sauce sur une des pages, on essuie et c’est fini. Oui, ça implique probablement une plastification quelconque et c’est probablement pas donné.
  • Il peut passer de manière PRATIQUE en cuisine. Le carnet à spirale ou le classeur me paraissent pour ça pas mal – rien de plus pénible qu’un bouquin qui veut pas rester ouvert à la bonne page rontudju.
  • Il raconte des choses – je trouve un peu tristounets les livres qui se contentent d’énumérer des recettes, j’aime bien avoir un « feeling » d’« auteur » derrière (je sais pas si c’est très clair).
  • Les recettes en sont libres : aucun remords à les recopier telles quelles sur un blog cuisine si ça me chante.
  • Il est personnalisable/modulaire : je peux en virer les recettes qui me plaisent pas (genre des huîtres aux concombres) et les remplacer par d’autres trucs. Et réorganiser tout ça. Et je peux trouver des « recharges/recettes » à l’unité, à pas très cher, en ligne et livrable en Suisse (parce que je suis vilement égoïste) pour la version imprimée, et en PDF gratuit pour la version électronique.
  • Il est indexé par ingrédient (comment ça, c’est difficile à concilier avec le point précédent ? M’en fous, c’est moi qui rêve.)
  • Il a une certaine unité graphique malgré le concept de « recharges ».

Et le pire, c’est que je me dis que tout ça, c’est pas bien difficile à faire, en tous cas d’y tendre, qu’il ne me manque qu’une lamineuse (et qu’en pratique je pourrais me contenter de pochettes plastiques pour l’instant), une charte graphique et une imprimante couleur (et j’peux même probablement aller faire imprimer en face).

Et si mon rêve était à portée de main ? J’ai même un domaine dans un coin qui pourrait servir à ça, pour mettre des jolies fiches à libre disposition… pour l’impression/fabrication c’est une autre histoire… mais bon :p

(J’ai la sombre impression que rédiger ce billet m’a pas vraiment calmée et que j’ai envie de faire ce truc.)

Le Campus OpenOffice.org est sorti !

Il est chaud, il est beau, les mamans en sont très fières : le Campus OpenOffice.org, sous-titré « Maîtriser OpenOffice.org par la pratique », auteurs Sandrine Burriel et Isabelle Hurbain-Palatin est sorti chez Pearson !

Campus OpenOffice.org

Au sommaire, 31 chapitres avec que du bon dedans :

I OpenOffice.org en perspective
1. Revue des troupes • 2. Travail collaboratif • 3. OOo et le web • 4. Travailler avec des PDF • 5. Travailler avec des macros

II Présenter des données
6. Créer une édition personnalisée de Hamlet • 7. Créer un album photo et diaporama de vacances • 8. Modéliser un réseau informatique • 9. Créer une présentation multimédia professionnelle • 10. Préparer une réunion de parents d’élèves • 11. Dessiner des plans • 12. Envoyer des vœux • 13. Envoyer une gazette familiale

III Traiter des données
14. Enregistrer des notes d’élèves • 15. Gérer ses recettes de cuisine • 16. Créer un convertisseur universel • 17. Gérer un fonds documentaire • 18. Gérer un compte en banque • 19. Créer une table de logarithmes dans Calc • 20. Gérer une copropriété • 21. Simuler un emprunt dans Calc • 22. Optimiser une vente de crêpes et gaufres

IV Automatisation
23. Générer des exemples de polices • 24. Contrôler une base de données externe • 25. Créer un jeu de cartes de mémorisation • 26. Générer des documents OpenOffice.org automatiquement

V Un peu de détente
27. Imprimer des feuilles de Yatzee • 28. Gérer un tournoi sportif • 29. Créer une maquette en papier • 30. Réaliser un quiz • 31. Animer un cube en 3D

Toutes les informations sont disponibles sur la page chez Pearson et on peut même l’y acheter 😉

Faut le dire, c’est assez émouvant ;’-)

Le Numéro 7, de Martin Winckler

J’ai beaucoup bouquiné ces derniers temps (comme d’habitude, mais j’ai l’impression que c’est pire ces temps-ci)… faudra que j’en cause à l’occasion avant d’avoir tout oublié 🙂 (Faites-moi penser à vous parler des Chroniques de San Francisco un de ces quatre).

Et là, ce matin j’ai commencé Le Numéro 7 de Martin Winckler (j’adore Martin Winckler, j’vous l’avais déjà dit non ? O:-) ). Pis je l’ai fini ce soir en rentrant. (Je lis vite.)

J’ai pas envie d’en dire beaucoup plus que ce qu’en dit l’auteur… (J’ai été tentée de recopier ici, mais bon, ça s’impose pas franchement, en fait.) Et oui, ya effectivement plusieurs hélicoptères. Et un pestacle de magie.

À part quelques petites choses :

  • Je sens que je vais le relire TRÈS vite – j’ai l’impression qu’il me manque des « clés » (l’inconvénient de lire trop vite, hein, on laisse passer des trucs sans s’en apercevoir… mais je suis INCAPABLE de lire plus lentement. C’est ballot hein.) Bon, en même temps, je suis quasi sûre que c’est volontaire (les zones de flou).
  • j’ai jamais vu Le Prisonnier (shame on me), mais je sens que ça ne saurait tarder
  • Une certaine référence à un certain Service National d’Informations Fonctionnelles aura au moins été repérée par un lecteur de ce bouquin (j’étais comme une andouille en train de me marrer dans le métro). D’autres références sont plus évidentes (plus connues on va dire) mais j’y peux rien, j’aime bien les clins d’oeil 🙂

Bref, un bouquin de la Pile à Lire, lu, et qui… y retourne. J’avais déjà relu très vite Les Trois Médecins (du même auteur), pas pour les mêmes raisons (re-savourer vs. grr piger) – je suis une « relectrice », mais habituellement pas à ce rythme tout de même 🙂