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J’ai fini The Litigators de John Grisham (traduit en français sous le titre Les Partenaires) hier soir. Je l’avais commencé il y a quelque temps, et j’ai lu la trilogie Hunger Games (Susan Collins) et In One Person (John Irving) avant de le finir. On pourrait croire que c’est un commentaire sur le fait que c’est pas un bouquin vraiment passionnant (étant donné que je l’ai abandonné pendant si longtemps) mais, au vu de mes habitudes de lecture, je pense pas qu’il faille en déduire trop de choses.
The Litigators est l’histoire de deux avocats plutôt minables, Oscar et Wally, rapidement rejoints par David, qui a démissionné de son poste précédent dans une firme prestigieuse sur un coup de tête. Et ces trois gugus (qui n’ont aucune expérience au tribunal) se retrouvent, globalement à cause d’une coïncidence, à attaquer une grosse entreprise pharmaceutique sur son médicament anti-choléstérol phare, le Krayoxx.
Quand j’ouvre un roman de John Grisham, je m’attends principalement à être distraite/amusée pendant 400 pages avec des histoires d’avocats (ce n’est PAS une contradiction), avec une histoire qui ne casse généralement pas des briques et qui est généralement sans grande surprise, mais qui est bien menée, décemment écrite… et c’est à peu près tout. The Litigators répond clairement à tous ces points ; je l’ai trouvé plutôt plus drôle que d’autres bouquins de Grisham, probablement parce que les personnages sont intrinsèquement plus comiques. De manière générale, je dirais que The Litigators a rempli et même dépassé mes attentes – c’est un bon Grisham 🙂