Angband, c’est addictif

Bruce en parle ici et … J’ai nommé un des jeux les plus addictifs auxquels il m’a été donné de jouer (bon, je suis pas une grande joueuse devant l’éternel, à la notable exception de ma période « démineur » en sup) : Angband.

Le principe : on joue un personnage (plusieurs races et classes dispo), représenté par un @ (ah, oui, c’est un jeu en ascii O:-) ) qui se balade dans un donjon tolkienien (dont les murs sont des #) pour trucider tout le monde. 100 niveaux tirés aléatoirement à chaque montée ou descente d’escalier (symbolisés par des < pour monter et > pour descendre), plein plein de monstres, plein plein de scrolls, potions, bâtons et autres baguettes magiques, plein plein d’armes et armures… Une richesse de jeu assez effroyable en fait.

Bon, après, le problème, c’est que quand un perso meurt, il meurt pour de vrai (la sauvegarde est taggée). Deux approches pour le coup : faire des sauvegardes du fichier de sauvegarde (c’est mal dans la déontologie du jeu, mais des fois c’est tentant), ou considérer les parties finalement comme des parties de Tetris, où quand on perd bin on a perdu, et des fois ya des parties pourries, et où la courbe de progression est… foutument pentue.

J’avoue, j’alterne entre les deux positions 😉 Parce que contrairement à Tetris où c’est des briques qui tombent, il arrive qu’on s’attache à notre petit @ qui se balade dans le donjon 🙂

EDF, c’est pas très boulet-proof.

Allez, encore un billet pour me plaindre, puisque je sais que mes (rares) lecteurs adooooorent ça 😉

Je viens de déménager. Pour une fois, par rapport à l’ancien appart, je me suis occupée de l’abonnement EDF. Par contre, manque de bol, la première facture d’abonnement a été envoyée le 6 juillet (avant, en fait, que je les appelle pour mettre en route un prélèvement automatique). Évidemment, boulet comme je suis, j’avais pas encore mis nos noms sur la boîte aux lettres, la facture est donc passée à la trappe. Normal.

J’appelle la madame à EDF, mise en place du prélévement, « ah, vous avez pas reçu la facture ? bon, je vous fais envoyer un duplicata ». Le duplicata arrive et, vu que c’est toujours un b… monstre pour déménager, je ne le vois en fait arriver dans mes mains que la semaine dernière. Toujours comme je suis un gros boulet, je ne m’en occupe pas tout de suite.

Aujourd’hui, je regarde pour payer ça aujourd’hui (oups, tiens, j’ai déjà une semaine de retard). Vu que le prélèvement automatique a été mis en place après, il faut que je paye cette facture-là soit par TIP, soit par chèque, soit par Internet, soit par téléphone. Par TIP, déjà, c’est mort : la seule facture que j’ai est un duplicata, et le TIP dessus est annulé. Je tente le coup par Internet : « vous avez un abonnement en prélévement automatique, vous ne pouvez pas payer par Internet » (sigh). Bref, je remets ça à ce WE – pas à 2 jours près… sauf que… ah bin si, dans la boîte aux lettres, arrivée aujourd’hui d’une jolie relance « au fait, ça serait bien de payer avant le 28, sinon vous en êtes pour 45 euros de remise en route de votre abonnement normal ». HEEEY ! le 28 c’est demain !

Bref, je rame, j’essaie de trouver un émulateur minitel qui marche sous Mac OS X et sur une ligne ADSL (hint : oubliez), je finis par décrocher mon téléphone… Première tentative « veuillez rappeler ultérieurement » ; seconde tentative, j’ai finalement quelqu’un au bout du fil qui m’explique gentiment que le service de paiement par carte bancaire par téléphone ne marche qu’entre… 9h et 17h.

Et là je pose la question : ça coûterait vraiment si cher que ça de poser une boîte vocale et un machin qui enregistre un numéro de facture tapoté sur le clavier et un numéro de CB ??? Ou d’avoir un service web capable de voir dans la base de données que la facture a été éditée avant la mise en place du prélèvement automatique et de proposer de payer uniquement cette facture là en ligne ? Je dis pas que j’ai pas merdé sur le coup. C’est évident que c’est en grande partie de ma faute. Mais quand même… on est pas aidés 😦

Je déteste déménager.

Déménager…

  • Faire des cartons, encore des cartons, toujours des cartons, en ayant l’impression que plus on en fait plus il en reste à faire ;
  • Transporter les cartons et les meubles d’un point A à un point B de manière à ce que les éléments susnommés ne se cassent pas la gueule dans le camion ;
  • Monter les cartons et les meubles, un par un, au troisième sans ascenseur, par 35° à l’ombre (et pas d’ombre) ;
  • Chercher désespérément dans les cartons et dans tout l’appart :
    • une casserole pour faire des pâtes
    • du gros sel pour faire des pâtes
    • le câble d’alim du lecteur DVD
    • la pilule
  • Pas savoir par où commencer pour ranger
  • Savoir que de toutes façons on va pas s’en sortir…

Je craque. (Ah, et je veux des vacances, quand même).

Merci quand même à Papa, Maman, Polonais et Viêt sans qui je serais même pas arrivée à cette situation là. *soupir*

Vérifiez vos contrôles techniques…

Je me suis fait arrêter pour contrôle d’identité standard la semaine dernière… « madame, vous avez un mois de retard sur votre contrôle technique ». Bam, 90 euros et il faut que j’aille rechercher ma carte grise aux Ulis aujourd’hui…

Pas de bol quand même, ça fait 4 ans que je conduis, deux contrôles et une amende sur le 2e. D’aucuns diront que je l’ai cherché :-/

Bon, cela dit, du coup, maintenant j’ai un rétroviseur remplacé, des nouveaux essuie-glace et des roues parallèles – et un petit tampon qui me dit que j’ai la paix pour deux ans 🙂

Fatiguée…

Pff, je suis fatiguée comme rarement, moi, j’ai l’impression de pas avoir dormi de la nuit (et pourtant j’ai pas souvenir de m’être réveillée toutes les demi-heures comme certaines autres nuits…) Et la thèse avance à une vitesse d’escargot monoplégique (bin oui, ça a qu’un pied ces trucs là, je vais pas dire tétraplégique), ça va faire une semaine que je suis sur la correction du premier chapitre rédigé…

Veux des vacaaaaaaaaaaaaannnnnnnces !

Attention, râlage

Depuis le 31 décembre, fin de mes droits étudiants, je n’ai plus de couverture sécu. J’avoue, c’est en très grande partie de ma faute. Je ne me suis pas remuée à temps pour faire les démarches pour le changement de statut (et donc de caisse).

J’ai depuis un mois ou deux sous la main le formulaire de demande d’affiliation. Trucs standards, état civil, « où est-ce que vous étiez avant », etc. Et, au dos, une liste de pièces justificatives longue comme le bras. Admettons. Je retrouve presque par miracle une copie d’acte de naissance (j’avais bien fait d’en demander deux la dernière fois), je récupère un peu toute la paperasse, bien.

Il me manque un truc : l’attestation de résiliation de mon ancien centre de sécu. Comme je suis une grosse flemmarde et que prendre une enveloppe et un timbre, c’est trop me demander, je vais traîner sur le site web dudit centre de sécu et j’envoie un petit email pour demander s’il leur est possible de m’envoyer ladite attestation. Aujourd’hui, j’ai reçu la réponse (j’avais plus ou moins marqué la tâche comme effectuée de mon côté et j’attendais un courrier. Accident bête). Vous remarquerez l’emploi des temps passés : le courrier initial datait du 2 mars. Nous sommes aujourd’hui 19 jours plus tard, en l’occurrence le 21. Pour un MAIL.

Sérieusement, les mecs, si vous êtes pas foutus de répondre sous 48h (allez, chuis sympa, une semaine ouvrable.), ne proposez pas de vous contacter par mail. Surtout quand, 19 jours plus tard, c’est pour dire de renvoyer un courrier demandant l’attestation en joignant la carte Vitale « pour l’invalider ». Sachant évidemment qu’elle fait partie du dossier à envoyer au NOUVEAU centre de sécu…

Soupir.

(C’était l’instant Balise VS Adversité de la journée).