Bruce en parle ici et là… J’ai nommé un des jeux les plus addictifs auxquels il m’a été donné de jouer (bon, je suis pas une grande joueuse devant l’éternel, à la notable exception de ma période « démineur » en sup) : Angband.
Le principe : on joue un personnage (plusieurs races et classes dispo), représenté par un @ (ah, oui, c’est un jeu en ascii O:-) ) qui se balade dans un donjon tolkienien (dont les murs sont des #) pour trucider tout le monde. 100 niveaux tirés aléatoirement à chaque montée ou descente d’escalier (symbolisés par des < pour monter et > pour descendre), plein plein de monstres, plein plein de scrolls, potions, bâtons et autres baguettes magiques, plein plein d’armes et armures… Une richesse de jeu assez effroyable en fait.
Bon, après, le problème, c’est que quand un perso meurt, il meurt pour de vrai (la sauvegarde est taggée). Deux approches pour le coup : faire des sauvegardes du fichier de sauvegarde (c’est mal dans la déontologie du jeu, mais des fois c’est tentant), ou considérer les parties finalement comme des parties de Tetris, où quand on perd bin on a perdu, et des fois ya des parties pourries, et où la courbe de progression est… foutument pentue.
J’avoue, j’alterne entre les deux positions 😉 Parce que contrairement à Tetris où c’est des briques qui tombent, il arrive qu’on s’attache à notre petit @ qui se balade dans le donjon 🙂