Je crois que j’ai lu tout ce que Marian Keyes a écrit – mais j’avais raté la sortie de The Woman Who Stole My Life (pas encore de traduction en français) en novembre dernier (gasp).
On y fait la connaissance de Stella, qui vit toute seule avec ses deux enfants adolescents, et qui cherche à écrire – sauf qu’elle a un léger souci de page blanche, ce qui est embêtant. Et on y apprend petit à petit ce qu’il s’est passé et la raison pour laquelle elle est dans la situation actuelle.
J’ai bien aimé, ça se lit tout seul, c’est pas le bouquin de l’année et la fin est complètement prévisible mais la manière d’y arriver permet de passer quelques heures agréables.