(Tiens, j’avais oublié de traduire celui-ci hier. Le post original :
https://plus.google.com/106223694077555758612/posts/Xc36ULnW57y )
Bon, je crois que The Time-Traveling Fashonista (traduit en français sous le titre Une robe couleur du temps, c’est bien trouvé, d’ailleurs, enfin j’aime bien) est un exemple typique de « mon libraire a pas bien fait son boulot ». Je veux dire par là qu’il y a une petite section anglaise à la librairie en question, et que ladite section est divisée en quatre : littérature « générale », SF/Fantasy/Thrillers, non-fiction (ça se dit, ça en français ?) et littérature jeunesse. Ce livre était dans la partie littérature générale, et même mis en avant dans ladite section, mais la cible est clairement les 8-12 ans. Enfin bref, je l’avais, je l’ai lu 😉 (Et je serai plus prudente la prochaine fois que j’irai dans cette librairie).
C’est l’histoire de Louise, qui a 12 ans et une passion pour la mode « vintage » (*tousse*crédible*tousse*) et est invitée à une vente privée de mode vintage (*tousse*crédible*tousse*) (Bon, je plaisante sur le coup de la crédibilité. Je veux dire, le Club des 5, c’était pas des plus crédibles non plus. Mais c’était (c’est) bien quand même.) Louise essaye une robe, tombe dans les pommes, et se retrouve… sur le Titanic. Et, heu… c’est à peu près tout 🙂
Je dois admettre que c’était plutôt choupi et que les illustrations étaient jolies. Je ne suis pas sûre de ce que j’attendais en prenant ce bouquin, probablement pas un truc très profond, mais du fait que j’étais vraiment pas dans la cible, j’ai été un peu déçue. Probablement pas mal pour la cible considérée, cela dit.