Le dernier billet d’Éolas sur la peine de mort est… violent. Violent de réalisme. Rien à en dire – parce que rien à dire après ça.
Ah, si. Merci Monsieur Badinter.
Le dernier billet d’Éolas sur la peine de mort est… violent. Violent de réalisme. Rien à en dire – parce que rien à dire après ça.
Ah, si. Merci Monsieur Badinter.